Ne cherchez pas d'autres coupables
Mondialisation, modernisme, progrès, avenir..... Tous ces termes sont encourageants, pourtant tellement destructeurs pour les diverses espèces animales vivant en Antarctic. La vie animal est impacté directement par les hausses de températures.
Cela paraît minimme, 0,5 degré, et pourtant, cette augmentation graduelle modifie considérablement l'habitat naturel des animaux vivants sur la banquise.
L'homme n'est nullement à l'abri, on pourrait presque dire que l'espèce humaine s'autodétruit, conséquence de cet effet de serre, le climat s'affole.
Combien faut-il de COP pour prendre vraiment les choses en mains ?
Certes, des décisions sont prises, des mesures envisagés, mais l'on tourne quand même en rond malgré l'urgence absolue de la situation. Ce n'est pas dans 10 ans qu'il faut réduire les émissions responsables, ce n'est pas dans 10 ans qu'il faut tous se mettre d'accord.
C'est maintenant et de suite qu'il faut réagir, prendre les bonnes décisions et surtout respecter celles prises. Mettre en oeuvre immédiatement des mesures afin de sauver ce qui peut l'être.
Mais hélas, les enjeux financiers prédominent. Toujours les mêmes excuses pour retarder les actions. La puissance, les menaces de certaines sociétés rendent la tâche encore plus difficile.
Et pendant ce temps...
La banquise fond à vue d'œil, les espèces souffrent dans l'indifférence totale. On ne verra bientôt plus l'ours polaire fouler la banquise du grand Nord. La fin du règne pour le roi de l Antarctique.
Bien sûr, plusieurs autres espèces sont également concernées, victimes du réchauffement climatique, mais nous traitons ici l'ours polaire et les dégâts causés par l'être humain sur son environnement.
Il faut savoir que cette partie du globe est précisément nettement plus exposés que d'autres. Le pôle Nord, région où l'on constat le plus grand trou dans la couche d'ozone.
Rien d'étonnant à voir fondre les glaciers comme neige au soleil. Mais cela n'est que l'aspect visible du dangereux phénomène.
Cela paraît minimme, 0,5 degré, et pourtant, cette augmentation graduelle modifie considérablement l'habitat naturel des animaux vivants sur la banquise.
L'homme n'est nullement à l'abri, on pourrait presque dire que l'espèce humaine s'autodétruit, conséquence de cet effet de serre, le climat s'affole.
Combien faut-il de COP pour prendre vraiment les choses en mains ?
Certes, des décisions sont prises, des mesures envisagés, mais l'on tourne quand même en rond malgré l'urgence absolue de la situation. Ce n'est pas dans 10 ans qu'il faut réduire les émissions responsables, ce n'est pas dans 10 ans qu'il faut tous se mettre d'accord.
C'est maintenant et de suite qu'il faut réagir, prendre les bonnes décisions et surtout respecter celles prises. Mettre en oeuvre immédiatement des mesures afin de sauver ce qui peut l'être.
Mais hélas, les enjeux financiers prédominent. Toujours les mêmes excuses pour retarder les actions. La puissance, les menaces de certaines sociétés rendent la tâche encore plus difficile.
Et pendant ce temps...
La banquise fond à vue d'œil, les espèces souffrent dans l'indifférence totale. On ne verra bientôt plus l'ours polaire fouler la banquise du grand Nord. La fin du règne pour le roi de l Antarctique.
Bien sûr, plusieurs autres espèces sont également concernées, victimes du réchauffement climatique, mais nous traitons ici l'ours polaire et les dégâts causés par l'être humain sur son environnement.
Il faut savoir que cette partie du globe est précisément nettement plus exposés que d'autres. Le pôle Nord, région où l'on constat le plus grand trou dans la couche d'ozone.
Rien d'étonnant à voir fondre les glaciers comme neige au soleil. Mais cela n'est que l'aspect visible du dangereux phénomène.